Future research to underpin successful peste des petits ruminants virus (PPRV) eradication

Peste des petits ruminants virus (PPRV) is a significant pathogen of small ruminants and is prevalent in much of Africa, the Near and Middle East and Asia. Despite the availability of an efficacious and cheap live-attenuated vaccine, the virus has continued to spread, with its range stretching from Morocco in the west to China and Mongolia in the east. Some of the world’s poorest communities rely on small ruminant farming for subsistence and the continued endemicity of PPRV is a constant threat to their livelihoods. Moreover, PPRV’s effects on the world’s population are felt broadly across many economic, agricultural and social situations. This far-reaching impact has prompted the Food and Agriculture Organization of the United Nations (FAO) and the World Organisation for Animal Health (OIE) to develop a global strategy for the eradication of this virus and its disease. PPRV is a morbillivirus and, given the experience of these organizations in eradicating the related rinderpest virus, the eradication of PPRV should be feasible. However, there are many critical areas where basic and applied virological research concerning PPRV is lacking. The purpose of this review is to highlight areas where new research could be performed in order to guide and facilitate the eradication programme. These areas include studies on disease transmission and epidemiology, the existence of wildlife reservoirs and the development of next-generation vaccines and diagnostics. With the support of the international virology community, the successful eradication of PPRV can be achieved

Ontological Implications of the Levels of Conceptual Interoperability Model

The Levels of Conceptual Interoperability Model (LCIM) was developed to cope with the different layers of interoperation of modeling & simulation applications. It introduced technical, syntactic, semantic, pragmatic, dynamic, and conceptual layers of interoperation and showed how they are related to the ideas of integratability, interoperability, and composability. This paper will be presented in the invited session Ontology Driven Interoperability for Agile Applications using Information Systems: Requirements and Applications for Agent Mediated Decision Support at WMSCI 2006

Effet du chlorure de sodium sur la germination de graines de Ricinus communis L.

Ricinus communis L (ricin) figure parmi les espèces du Programme biocarburant au  Sénégal. Sa culture sur des terrains incultes (terres salées) constitue une alternative pour éviter une concurrence sur les terres à vocation agricole. C’est pourquoi le taux de germination (TG) de sept accessions de graines de ricin a été étudié pendant 15 jours sous des concentrations croissantes de NaCl (0; 20; 50; 80; 100; 150 et 200 mM). Les résultats ont montré une large variabilité de tolérance au sel au stade de la germination. Les accessions 3 et 8 ont été très sensibles avec des TG réduits seulement à la concentration 20 mM NaCl. Les accessions 1, 6 et 7 n’ont pas toléré la concentration 50 mM. L’accession 5 n’a toléré que les teneurs < 80 mM. L’accession 4 a germé dans les milieux ≤ 100 mM NaCl. Elle n’a manifesté une perte significative de TG qu’en présence de 150 mM NaCl. Elle a été la moins affectée par l’effet ralentisseur du sel sur la vitesse de germination. Ces résultats permettent de dire que le mode d’action de NaCl sur la germination est de nature osmotique et/ou toxique.Mots clés : Ricin, espèce, biocarburant, tolérance au sel, teneur en sel, Sénégal

Effet de la fumure organique sur la croissance et le rendement du riz NERICA 3 (WAB 450 IBP 28HB) à Faranah

Dans le but d’évaluer les effets de la matière organique sur la résistance du riz NERICA (New Rice for Africa) au stress hydrique sur sol ferralitique, un essai est réalisé au champ à Faranah de juillet à novembre 2008. Le dispositif utilisé est le Blocs Complets Randomisés factoriel à trois répétitions. Les traitements comportent: (i) trois dates de semis, à 15 jours d’intervalle, induisant trois niveaux de stress : 25/07/08 (d1), 9/08/08 (d2), 24/08/08 (d3); (ii) deux doses de matière organique D0 (témoin) et D1 (60 tonnes de fumure par hectare). La réponse au stress hydrique est évaluée à travers la croissance (hauteur des plants, longueur de la racine la plus allongée), le nombre de talles fertiles, le rendement et l’indice de sensibilité au stress. Les résultats montrent que quelque soit la date de semis l’apport de fumure augmente les rendements par rapport au témoin soit: 4,06 t/ha à d1, 2,43 t/ha à d2 1,44 t/ha à d3. Ainsi l’utilisation de la matière organique permet-elle de maintenir des niveaux de production plus élevés par rapport au témoin; donc la fertilisation améliore la résistance à l’insuffisance d’eau due à un semis tardif ou semi-tardif